lundi 6 août 2012

JOYEUX ANNIVERSAIRE AUX SCOUTS DE SANARY


La 1ère Sanary fête ses 20 ans

Tous ceux qui sont passés par elle,
ne serait-ce qu’une journée, sont concernés.

Ne passons pas à côté d’un tel événement !

Nous nous retrouverons tous, petits et grands, 
anciens comme actifs,
avec famille et proches,

les 22 & 23 DECEMBRE 2012,
à la salle de la GUICHARDE  
à SANARY.

Au programme : journée familiale avec film, banquet,
veillée, jeux, exposition de souvenirs…
Ressuscitez  vos archives, vos divers trophées, vos récits,
 vos photos et vos films !
PAS MOYEN DE VENIR ? 
MOYEN QUAND MEME !

Retrouvez toutes les informations sur le blog BOVINO ERGO SUM et sur la page FACEBOOK de la 1ère Sanary et de l'évènement.

Signé : Le collectif PMMQM


Les camps racontés par nos CT


Camp 2001 Préhistoire

Ce fût pour la maîtrise Stéphane Rémy, Aymeric et moi le premier camp, avec 5 patrouilles et 5 CP à peine plus jeunes que nous... Un grand défi car maîtriser une bande de 30 bovins dans ces conditions, ce n'est pas simple.  

Le premier test a été le camp de Pâques de Province sur la route Napoléon et là, c'est la révélation ! Une guitare fourrée à la rango plus tard, une sioule mémorable opposant la 1ère Sanary au reste du monde: l'image change, Sanary n'est plus la petite troupe pas loin de Toulon, non la 1ère Sanary, c'est un esprit, c'est une provocation, c'est un défi; en un mot c'est LA 1ère Sanary !

Le camp se déroule donc avant l'invention de l'écriture et surtout avant la disparition du Dahu (quoique certains l'ait vu récemment paraît-il) car il fallait un thème adéquat pour que chacun puisse s'exprimer: la préhistoire.

Lieu d'expression de la finesse sanaryenne, les installes s'élèvent très hautes, autant que les flammes des feux de veillées, dont par ailleurs la qualité augmente sensiblement. 

On assiste aussi à quelques évènements tout droit sortis d'une époque que l'on croyait révolue: une course de stock-chars, des sioules déchirantes, des forêts décimées et bien sûr, la poursuite collective d'un faisan à moitié égorgé qui devait servir de mets de choix au concours cuisine ! 

 Bref, un camp tout en subtilité.

Hugues

jeudi 28 juin 2012

Premières photos proposées pour le BOVINO D'OR de la plus belle photo !

La barre est haute, le ton est donné...

 
Un indien d'Alsace prêt à vous scalper

Une croix de Jérusalem se détache sur le ciel bleu

 
 Les légions envahissent les contrées du Nord

 La patrouille du Puma devant la tombe de Guy de Larigaudie en 2006


Un beau geste
C'était au temps de la Préhistoire...



Papiere, bitte !


Après le blog VDM, voici VDS (Vie de Scout)  
Pour lancer l’affaire, voici une anecdote de troupe !

Thème du Camp : Templier
Année : 1995
Région : Queyras


 




Histoire : Au terme d’un grand jeu magnifique de trois jours et sous une pluie d’enfer, l’histoire se termina dans l’enceinte d’un château médiéval où le « traître » fut enfin démasqué et exécuté pour la plus grande joie de tous.
Pour fêter ça, rien de tel qu’une immense grillade au pied du château (le lieu du camp étant à plus de 15 km). La nuit tombe et les festivités commencent. Mais deux phénomènes compliquent rapidement les choses : d’abord, la pluie refait surface et rien n’est prévu pour s’abriter ; ensuite, après trois jours d’une guerre acharnée, voilà la troupe bien fatiguée !

Pourtant, l’odeur de cette viande réveille l’ardeur de nos fauves, et même s’il est difficile dans le noir de distinguer le cuit du cru, nous mangeons sans restriction… lard fumé, côtelettes de porc, saucisses… tout y passe, un aller-retour dans la braise et hop !  Quelques chants plus tard, nous voilà tous réunis dans la grange du château pour passer notre première nuit au sec.

Le lendemain !
 TiiiiiiiTaaaaaaaaaaaaaaaa   tiiiiiiiiiiitatatatatatatata………………
(bis)
  TiiiiiiiTaaaaaaaaaaaaaaaa   tiiiiiiiiiiitatatatatatatata………………
(rebis)
  TiiiiiiiTaaaaaaaaaaaaaaaa   tiiiiiiiiiiitatatatatatatata………………
 (Rerebis)


Disparition ? Mauvaise blague ? Rébellion? Non !

INTOXICATION !!!! 
Sur 30 scouts, peut-être 5 ou 6 six ont réussi à ramper jusqu’au lieu de rassemblement. Sinon, ce fut un véritable carnage, tout le monde se tordant de douleur. Il a fallu organiser un retour épique au camp et deux jours de repos total furent décrétés avec mise en place des horaires pour la prise des médicaments.

Finalement cette année-là, pour célébrer la fin du camp, la tradition du méchoui fut curieusement abandonnée pour laisser place à une soirée… CRÊPES ! (N'en déplaise aux bretons !)